Comment ouvrir une micro-crèche ?

Stratégie

Les micro-crèches ont vu le jour en 2010. Néanmoins, le nombre de places reste limité. Aujourd’hui, de nombreux professionnels souhaitent ouvrir leur propre structure. Cette activité est régie par diverses lois. Pour en connaître davantage, découvrez comment ouvrir une micro-crèche.

Établir ses besoins et un business plan

La première étape pour ouvrir une micro-crèche est de définir ses attentes et son business plan. Tout d’abord, il est indispensable d’évaluer les besoins d’une commune ou d’un département en termes de crèche. Pour cela, il faut connaître le nombre de familles intéressé. Cet examen passe par une évaluation quantitative et qualitative.

En outre, la rédaction d’un business plan est indispensable pour préciser la viabilité financière du projet. Pour en savoir plus, consultez https://creer-sa-micro-creche.fr/le-business-plan-dune-micro-creche/ . Ces différents rapports seront essentiels afin de vérifier le bon fonctionnement de la micro-crèche.

Réaliser les démarches auprès de la commune

Afin de pouvoir ouvrir une garderie pour enfants, il est nécessaire de déposer un dossier d’agrément. Ce dernier doit être confié à la Protection Maternelle et Infantile. Le dossier est tenu d’avoir plusieurs éléments dont :

  • les objectifs de la structure,
  • le nombre de famille intéressé,
  • le statut juridique,
  • le mode de fonctionnement et
  • les tarifs.

Ledit document doit également comporter toutes les informations relatives à l’établissement (horaires d’ouverture, nombre d’enfants accueillis…). Pour connaître l’ensemble des éléments du dossier, il est conseillé de se renseigner auprès de la CAF. Si le vôtre est validé, il sera transmis au Conseil général du département.

Définir la forme juridique

Le statut de la structure est défini en fonction de différents critères (nombre d’associés, nombre d’enfants…). Le gérant de la garderie peut avoir le choix entre une EURL, une EIRL ou encore une SA. En général, les micro-crèches optent pour une structure de type SARL ou SAS. Il est recommandé de prendre connaissance de tous les critères de chaque statut juridique. L’objectif est de choisir celui qui correspond le mieux à l’activité.